Vos mains sont occupées à tapoter sur un objet connecté tout au long de la journée ou de la nuit ? Smartphone dans une main et tablette dans l’autre, vous tweetez plus vite que ce que vous respirez ? Attention, vous êtes probablement atteint par le syndrome de l’ultra-digitalisation ! Un seul traitement envisageable, transformer cette pathologie en profession, devenez community manager.
Avec l’envahissement de la Tech dans nos mode de consommation, le community manager tient une place prépondérante dans l’économie mondiale : il est le nouveau métier encensé par les toutes les entreprises.
Fédérateur, il crée, anime, interagit avec les internautes afin de fidéliser la clientèle ou conquérir de nouveaux prospects. Son intervention sur les sites web, marketplaces, réseaux sociaux (communautés) ou blogs, vise à augmenter aussi bien la notoriété que la visibilité des sociétés. L’occupation multicanale de la toile permet une meilleure gestion de l’e-réputation ainsi qu’une augmentation du chiffre d’affaires si son rôle d’e-marketeur est bien rempli. Ses missions diffèrent selon la taille des entreprises et les besoins de ces dernières, cependant, certains facteurs demeurent communs à toutes.
En veille concurrentielle et informationnelle il est vigilant à tout ce qui peut être écrit sur la marque ; s’il fournit régulièrement des contenus (billets de blogs, photos, vidéos, rédactionnels), en tant que modérateur, il peut aussi être amené à en supprimer. Le buzz est sa religion mais il doit toutefois respecter la politique générale de l’entreprise, savoir imposer les limites autorisées. L’interaction avec les internautes via l’animation des réseaux sociaux peut vite déraper, confronté à certaines tensions (gestion du SAV), il doit faire de la relation client une priorité.
Plus habituellement rattaché au département marketing, il travaille parfois avec le service communication, son rôle prend alors une tournure plus évènementielle (jeux concours, test de produits ou conférence live…). Salarié de l’entreprise ou d’une marque spécifique, au sein d’un bureau ou en home office, il n’est pas rare de le voir évoluer en tant que freelance sous-traitant.
Le community manager, autonome et responsable, doit être capable d’appréhender les enjeux ainsi que les dangers du web. Réactif, toujours en veille technologique, il doit maitriser les fondamentaux du marketing, de la communication et ceux de la négociation.
Créatif et réactif, cet audacieux passionné, fin stratège et commercial des temps modernes, partage des contenus sur l’ensemble des supports Web qu’il tente d’humaniser. En jouant sur l’affect, la seule motivation de cet exploitant numérique est de favoriser la circulation de l’information. Si les internautes réagissent et propagent leurs émotions, la communication se répand alors à grands coups de Like.
« J’aime, donc je partage »…Pari gagné !!!
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